Alternatif Bien-Être n°214 : votre numéro du mois de juillet
Chers abonnés, Quand après avoir été victime d’un malaise, d’une blessure ou d’une maladie, nous en saisissons intimement le sens, nous éprouvons subitement un sentiment d’évidence. L’émotion cachée derrière le symptôme peut alors se manifester. Si nous l’accueillons, alors nous franchissons la première étape d’une guérison intérieure qui atténuera significativement les symptômes. Psycho & Soma a pour ambition de favoriser ce genre d’événements. Pour l’inaugurer, nous avons invité un grand monsieur de la psychosomatique, le Dr Philippe Dransart. Médecin homéopathe, il est l’auteur de plusieurs ouvrages dédiés à la compréhension du sens des maux. Le premier d’entre eux, La Maladie cherche à me guérir, a probablement contribué à une ouverture de la conscience collective au langage encore trop secret du corps. Pourtant, Philippe Dransart n’a pas suivi de formation spécialisée dans ce domaine. Sa compréhension du lien entre émotions et maladies, il l’a forgée à la suite d’un événement marquant de sa propre existence : le décès de sa mère des suites d’un cancer en 1968. « L’origine émotionnelle de son mal m’est apparue évidente » , nous a-t-il confié. A compter de ce jour, le jeune médecin n'a eu de cesse de percer le mystère. Sa contribution d’aujourd’hui n’est pas le fruit d’une élaboration théorique mais d’une recherche personnelle de chaque instant, pas seulement dans les livres mais aussi et surtout sur le terrain de la souffrance humaine. Dans ses conférences comme dans ses écrits, l’homéopathe grenoblois ne cherche pas à appuyer scientifiquement son propos. Paradoxalement, c’est ce qui en fait la force. Son seul objectif est de permettre à chacun de saisir - ou plutôt d’être saisi par l’évidence du sens, si la disponibilité intérieure est là. Son approche est aussi subtile que rigoureuse. |
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Au sommaire :
La neuroatypie recouvre des caractéristiques cérébrales aussi diverses que l’hyperactivité, l’hypersensibilité et le haut potentiel intellectuel. Pourtant, toutes ne provoquent pas de troubles. Qu’en disent les neurosciences ? Quels cas sont problématiques ? Comment les accompagner au mieux ? Annie Casamayou a enquêté sur ce dossier complexe en pages 3 à 8.
Entre colorants, conservateurs, arômes artificiels, sirop de glucose-fructose ou air ajouté, choisir de bonnes glaces est parfois compliqué. Comment distinguer les ingrédients de qualité de leurs substituts ? L’expert en consommation responsable Rémi Moha vous dit tout et vous propose sa sélection en pages 9 à 11.
Beaucoup de femmes se voient prescrire densitométries osseuses, comprimés de calcium, médicaments et laitages à chaque repas afin de réduire leur risque de fracture osseuse. Ces conseils sont-ils fondés ? Entre coutume et vraie science, il convient de faire le tri. Fabienne Burguière l’a fait. Elle vous explique comment éviter le principal facteur de risque de fracture en pages 12 à 14.
« Ça me démange. » « Ça me ronge. » « Ça me brûle ! » Mais qu’est-ce qui au fond nous démange, nous ronge ou nous brûle ? La maladie est porteuse d’un message auquel nous résistons. Et si nous apprenions son langage ? C’est l’initiation que vous propose le Dr Philippe Dransart en pages 15 et 16.
En phytothérapie, on est coutumier de l’usage des plantes sous forme de feuilles, fleurs, racines ou écorces. Mais aujourd’hui c’est de résine dont l’herboriste Caroline Gayet vous parle, celle qui exsude d’un arbre : l’encens. Elle vous révèle ses multiples vertus en pages 17 à 19.
Le neurofeedback est une technique qui consiste à envoyer un retour d’information au cerveau sur son activité afin qu’il apprenne à la moduler. L’outil était resté au stade expérimental en Europe, jusqu’à l’apparition d’un neurofeedback non médical venu du Canada en 1999. Devant les témoignages enthousiastes de pratiquants, Emmanuel Duquoc a mené sa propre étude. Ses résultats sont en pages 20 à 22.
Sa technique fondée sur de simple mouvements rotatoires a transformé des milliers de vies, permettant de soulager des douleurs pour lesquelles les traitements traditionnels étaient insuffisants. Clélia Fortier a rencontré Alexandre Munz, ancien danseur étoile et fondateur de cette approche révolutionnaire. Pages 23 à 25.
Philippe Chavanne vous révèle les secrets plaisir-santé du melon. Sans oublier les rendez-vous nature et les remèdes de la saison. À lire en pages 26-27.
Anesthésiste-réanimateur durant 35 ans, le Dr Jean-Jacques Charbonier se consacre aujourd’hui entièrement à l’hypnose. Plus de 40 000 personnes ont déjà participé à ses ateliers de Trans Communication Hypnotique (TCH). Il fait part à Sandra Franrenet de ses nouvelles découvertes en pages 28 et 29.
L’herbe à verrue, considérée comme toxique en Occident, est utilisée d’une tout autre manière ailleurs. Dans les montagnes du Caucase, on n’hésite pas à en faire des tisanes anti-cancer ! L’anthropologue de la médecine Aline Mercan a découvert cette curiosité par hasard… Elle vous en parle en pages 30 et 31.
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